D’où ça vient

En 2010 la société Chinoise Guangdong Dazu Yueming Laser Technology Co., Ltd. a déposé un brevet définissant la peinture au diamant : il s’agit de produire une toile avec des motifs en plastique. C’est ainsi que la broderie diamant, telle que nous la connaissons aujourd’hui, a vu le jour. Auparavant, les strass étaient fixés sur des supports en velours, mais la colle n'y adhérait pas correctement. L'inventeur a donc eu l'idée ingénieuse de placer les diamants sur une toile, garantissant une meilleure adhérence de la colle.

On pense que la broderie diamant serait née d’un mélange entre la peinture au sable et le point de croix. Aujourd’hui, on peut dire que ce loisir créatif est un mix entre le point de croix et la peinture par numéros.

Le principe

Le diamond painting, ou broderie diamant en français, est l'art de déposer des strass ou petits diamants colorés sur une toile imprimée de symboles et pré-encollée, afin de faire apparaître un dessin et ainsi créer un tableau. Chaque couleur de diamant possède une référence définie dans le nuancier DMC, et chaque toile comporte un tableau de correspondance indiquant le code couleur DMC, le symbole associé, ainsi que le nombre de diamants à coller. Le principe est similaire à celui de la peinture par numéros, sauf qu'ici, la peinture est remplacée par des diamants.